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Involution et évolution de l'humanité, quand tout se joue dans le corps

A travers le corps, c’est toute l’humanité, la création de la Terre, qui s’exprime. L’humain est une manifestation de cette planète, une conception tellurique et stellaire, qui, à l’origine et/ou sa concrétisation, est d’une perfection difficile à imaginer pour les êtres incarnés actuellement.

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L’humain a été enchâssé par des programmes. Certains s’activent sur les corps subtils (déséquilibres plus vastes que la Terre), d’autres sont encodés dans le corps physique (liés à la Terre). Résultat, le corps est dans une expression limitée de l’humanité qu’il représente.

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« L’intelligence corporelle » est non seulement entravée mais aussi pervertie par ces programmes. Ainsi, si certaines maladies et maux sont des manifestations de blessures qui ont finies par somatiser (cristallisations énergétiques) certaines sont des réponses en dysfonctionnement par rapport à des blessures expérimentées. Il y a alors comme un grain de sable dans les rouages qui va faire divaguer la machine. Le cancer est un exemple manifeste.

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Sur Terre, certains Êtres sont des prolongations énergétiques de la Terre, ils viennent donc réactiver l’encodage originel de l’humain, nettoyer le corps ou encore déprogrammer les déséquilibres arrimés au génome humain à partir du corps physique. Ils sont la voix de la Terre. Ils communiquent avec le corps parce qu’ils sont ce corps (la Terre) et sont en capacité de (ré)animer l’humanité. Ils sont la vie, le renouveau.

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Le corps est aujourd’hui altéré, il est en mode survie. Il est tellement enchâssé qui est à la limite de la subsistance. Cette limitation extrême a un but. L’humain a été réduit à un état qui pourrait s’apparenter à celui d’un « zombi », c’est-à-dire qu’il n’est que dans la manifestation des besoins vitaux, il et donc vidé de sa substance. Le corps, en cet état, est alors un outil. L’humain est un esclave.

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L’ego, cette distorsion de conscience agit à plusieurs niveaux. Il joue notamment un rôle d’inhibiteur à la fois au niveau de l’imprégnation de la conscience divine (par « le haut »), de l’amour (par le « pont ») et de l'inte