

Les menstruations : le sang sacré
La femme est une rivière où s’écoule la vie. La femme représente le féminin qui est le flux continu inondant tout ce qui est. Tout baigne en elle et à travers elle. * Lors des menstruations, la matrice de la femme se régénère. La femme évacue, par le sang, l’impur en elle, c’est-à-dire ce qui n’a plus lieu d’être. Elle se vide (pour pouvoir de nouveau se remplir). Ses menstruations permettent un nettoyage de sa matrice mais aussi de ses corps. Elle détruit pour créer. Elle me


Volonté
La volonté est une expression de l’énergie masculine, elle se manifeste dans l’impulsion des pensées et actions de l’Être. * La volonté balaie les incertitudes, les peurs, les hésitations et tous prétextes. Dans la volonté, il n’y aucune place au vacillement. La volonté est l’axe du divin. Elle est inébranlable. * La volonté est au-dessus de l’ego, elle est la radiation de la conscience divine. Elle tranche, sans concession ni sentiment, pour placer l’Être dans sa verticalité


Choix : l’offrande de Lucifer
A « l’origine », tout est volonté divine… Ainsi tout ce qui existe n’est que l’exaltation émanatrice et créatrice de ce tout. * Lucifer, dans un Amour infini et incommensurable, a offert à la création le choix. La création peut ainsi elle-même être créativité et création. A travers le choix, Lucifer a donc enfanté la liberté. Cela ne signifie pas « qu’avant » il y avait limitation, cela révèle, par cette offrande, une expansion et dilatation de la source. * Lucifer choie tout


Les différents masques de la femme : la pécheresse
La pécheresse, c’est celle qui est considérée comme ayant amené et répandu l’enfer dans la création et notamment sur Terre. Elle est la fautive, celle qui (a) fait « mal », celle qui a tort et qui est coupable. De ce fait, elle est impure et ces actions sont « mauvaises ». * Cela vient faire écho aux créations énergétiques lucifériennes qui ont renversé l’ordre établi et ont disséminé la décadence. Lucifer qui porte la Lumière et qui a conçu ces créations est donc perçu(e) co


Une société de faire (fers)
L’Être est conditionné par une société esclavagiste qui ne voit en lui qu’une main d’œuvre nourricière. Il est demandé à l’Être d’être productif. Plus l’Être fait, plus il est utilisé. C’est donc dans le faire qu’il est non seulement exploité mais aussi « reconnu ». * L’humanité a été manipulée génétiquement pour être utilisée comme esclave. Ainsi, outre la transmission d’une certaine forme « d'évolution », dans son adn, a été encodé l’asservissement, l’obéissance ou encore l